LUALABA: L’insolite de fétiche qui conduit à la découverte de l’acte de meurtre d’un enfant au village mutaka, Déodat KAPENDA ordonne l’arrestation des présumés coupables.
On dirait une insolite, mais ce pendant , il y a eut meurtre, l’histoire qui fait froid au dos dans le village mutaka, territoire de lubudi a la frontière de la province du lualaba avec celle du haut Katanga, le chef du village de cette entité, décide d’importer un féticheur depuis kasenga dans le haut Katanga avec comme objectif de venir déterminer la provenance de la richesse de l’un de ses administrés où sa richesse serait douteuse.
Sur place , le dossier de fétichisme et sorcellerie prend une autre tournure après que le mettre féticheur ait trouvé le bras d’un enfant enterré dans un petit cercueil, avec un peu d’argent et différents produits de vente, notamment, un peu de sucre, un peu du riz, un peu huile et beaucoup d’autres échantillons des marchandises dans la maison du commerçant, la population en couleur voulait brûler le commerçant. Saisi de l’affaire, le commissaire provincial de la police, Antoine KITENGE MBUYU a ordonné l’arrestation de ce groupe d’individus, notamment le mettre féticheur avec son agent, le commerçant, le chef du quartier et le chef du village mutaka pour que la lumière soit faite sur ce dossier, ces derniers ont été présentés le mardi 30 novembre devant le ministre provincial de l’intérieur et sécurité, Déodat KAPENDA. Devant le patron de l’intérieur et sécurité, le commerçant ne reconnaît pas la Provenance de ce bras du bébé et pense que c’est de l’acharnement « ce bras du bébé ne m’appartient pas, le chef a orchestré cette histoire dans le seul but de nuire à ma personne et bloqué mes affaires ».
mettre féticheur par contre, persiste et confirme que le bras du bébé a été trouvé dans la maison du riche commerçant du village »oui, c’est dans sa maison que toute ces histoires ont été trouvé, il suffit qu’on m’accorde de faire mes invocations pour vous dire même le nom de l’enfant de qui appartient ce bras » très choqué de cette pratique de fétiche au 21eme siècle, le ministre provincial de l’intérieur et sécurité, Déodat KAPENDA a tout simplement ordonné que tous ceux qui sont concernés dans l’affaire soient acheminer au parquet de grande instance pour que la justice soit faite sur la responsabilité de chacun dans cette affaire.
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Jules ODIMBA
Novembre 2021